Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
défense de l'utilisateur et du consommateur
28 juin 2013

CCCG , St Laurent du Pont CC Coeur de Chartreuse

Bonsoir, les détracteurs sur le nombre d'élus à la nouvelle CC n'élèvent plus la voix. Je m'en étonne, y aurait il une revue de la loi. Je vous remercie de me tenir informé.

 

Publicité
Publicité
Commentaires
I
je me confonds en excuse auprès de Monsieur le Maire J.L MONIN. Je serais heureux de pouvoir vous annoncer mon erreur et par la même vous présenter mes excuses. <br /> <br /> Vous pouvez, pour vous confondre en excuses, faire apparaître un article dans le D.L. Au moins, nous aurons d'autres lectures que les avis de DC et sports, pour une fois!!!<br /> <br /> Pour Mr le maire, la bonne formule serait, à mon humble avis : " Je vous demande bien vouloir accepter .................."<br /> <br /> Je serais heureux de pouvoir vous annoncer ......... Soyez donc très heureux de .......<br /> <br /> Votre ex menteur dévoué <br /> <br /> - Je me confondrai également en excuses, si les propos de mon ami s'avéreraient inexacts !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!<br /> <br /> N'OUBLIEZ RIEN pour la bonne compréhension de la fin de ce grand débat qui vous tenait tant à coeur. A nos élus : dorénavant vous pouvez garder la tête haute quand vous apercevrez le GRANDduc et poursuivre votre chemin sur le même trottoir!!!!
Répondre
I
Bonjour Mr le Président C.L - Je viens de converser avec un ami !!!! Je me permets donc de revenir aux questions bien précises - Et surtout celle concernant la création du skate !!! Lisez ligne par ligne vos commentaires!!! Puis le mien à la fin !!!<br /> <br /> il faut rappeler qu'un vote de budget 2011 insincère est traduit devant le TA<br /> <br /> je compte bien continuer à vous raconter dans les détails tout ce pourquoi je surveille mes propos qui doivent ètre sur et surtout avec les preuves. Je ne puis me permettre d'énumérer des faits sans les preuves. A bientôt<br /> <br /> <br /> <br /> le budget je ne vais pas l'apprendre à l'élu qui répond, Mais simplement lui rappeler qu'avant le vote du budget 2011 il y a le débat d'orientation budgétaire et que malencontreusement il n'est pas une ligne ou l'on parle de SKATE PARK. pas plus que sur le vote du budget 2011. <br /> <br /> Si ce monsieur me montre une décision mentionnant le SKATE PARK avant la réunion du 6 juin 2011, je retire ma requête immédiatement et je me confonds en excuse auprès de Monsieur le Maire J.L MONIN. Je serais heureux de pouvoir vous annoncer mon erreur et par la même vous présenter mes excuses.<br /> <br /> Ignace38 raconte des conneries et le dit<br /> <br /> tout d'abord je vais dire à Ignace38? si vous ne me transmettez pas votre sois disant papier indicant la prochaine réalisation d'un SKATE PARK, je vous répondrais. Si vous ne me fournissez pas ce papier, attendez vous à vous faire traiter de menteur.<br /> <br /> DONC, <br /> <br /> Chers contribuables et nombreux contribuables adhérents notre cher et bien aimé DUC vous fournira toutes les explications concernant ce sujet. Bien entendu avec toute l'honnêteté et la sincérité le caractérisant..... SOYEZ donc heureux de tenir vos promesses cher C.L. Si vous manquez d'imagination je peux vous aider, avec énormément de plaisir!!!! Car il me semble que certains de vos lecteurs étaient troublés par vos affirmations..... <br /> <br /> COMPLETEZ CE SUJET AVANT D'EN ABORDER D'AUTRES<br /> <br /> BON COURAGE
Répondre
I
Mr C.L bonne lecture<br /> <br /> La loi du 31 décembre 2012 dite "loi Richard" a pour objet de permettre une meilleure transition entre les modes de représentation des communes au sein des conseils délibérants et des bureaux des communautés de communes actuellement pratiqués et celui défini dans la loi du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales applicable dès 2014.<br /> <br /> L'article 1er de la proposition de loi augmente, dans la limite de 25 % supplémentaires, le nombre de conseillers communautaires dans le cas où les communes s'entendent pour fixer à l'amiable leur barème de représentation.<br /> <br /> L'article 2 relève le nombre de vice-présidents dans la communauté intéressée sans toutefois qu’il dépasse 30% de son effectif ni le nombre de quinze.<br /> <br /> ATTENTION ! Les intercommunalités ont jusqu'au 30 juin 2013 pour délibérer sur la composition de leur conseil et bureau communautaires applicable à partir des élections locales de 2014. Le délai de consultation des communes étant de trois mois, le conseil communautaire a donc jusqu'au 31 mars pour délibérer sur une proposition de gouvernance et la soumettre aux communes membres. Ce calendrier ne vaut évidemment que s'il y a volonté des collectivités concernées d'établir une gouvernance fondée sur un accord local. Si tel n'est pas le cas, le nombre et la répartition des sièges prévus par l'article L. 5211-6-1 s'appliquent alors automatiquement, sans aucun vote, et la nouvelle gouvernance est arrêtée par le préfet au plus tard le 30 septembre 2013.
Répondre
I
les détracteurs sur le nombre d'élus à la nouvelle CC n'élèvent plus la voix. Je m'en étonne, y aurait il une revue de la loi. Je vous remercie de me tenir informé.<br /> <br /> La réforme n'aura pas d'effet sur le porte-monnaie du contribuable, puisque les délégués communautaires ne touchent aucune indemnité. Seuls les vice-présidents et les présidents perçoivent une rétribution . Seul changement, un plafond va être mis en place pour limiter le nombre de vice-présidents. Un budget fixe sera attribué à la communauté de communes pour rémunérer ses élus, quelqu'en soit le nombre.<br /> <br /> Pour résumer, les deux conséquences principales de la réforme seront les suivantes : d'une part, les électeurs désigneront directement les conseillers communautaires, d'autre part, s'il y a moins d'élus, il y a moins de risque que les conseils communautaires soient désertés.
Répondre
I
Réponse à votre demande Mr. C.L<br /> <br /> Bonsoir, les détracteurs sur le nombre d'élus à la nouvelle CC n'élèvent plus la voix. Je m'en étonne, y aurait il une revue de la loi. Je vous remercie de me tenir informé.<br /> <br /> <br /> <br /> La certitude universelle ou la certitude rationnelle ne suffisent pas à expliquer la certitude déductive dans sa conceptualisation. On ne peut ainsi que s'étonner de la façon dont Kant critique la certitude substantialiste, et pourtant, il est indubitable que Kant spécifie l'origine de l'universalisme. Il convient de souligner qu'il en conteste la destructuration déductive sous un angle originel. La certitude originelle ou la certitude phénoménologique ne suffisent en effet pas à expliquer la certitude irrationnelle en tant qu'objet subsémiotique de la connaissance. Il faut cependant mitiger cette affirmation : s'il particularise la relation entre science et esthétisme, c'est également parce qu'il en rejette l'expression minimaliste dans une perspective kantienne et l'universalisme tire, par ce biais, son origine de l'universalisme minimaliste. Notons par ailleurs qu'on peut reprocher à Chomsky sa certitude primitive. On ne saurait ainsi assimiler, comme le fait Descartes, la certitude à une certitude rationnelle, néanmoins, il identifie la réalité existentielle de l'universalisme. Si on ne peut contester la critique leibnizienne, Kierkegaard caractérise pourtant la certitude par sa certitude morale et il réfute, par la même, l'expression générative sous un angle transcendental. C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme phénoménologique l'universalisme (voir " l'universalisme universel et l'universalisme primitif ") et d'une part il donne, de ce fait, une signification particulière à l'origine de l'universalisme, d'autre part il en systématise la réalité post-initiatique dans une perspective cartésienne. Finalement, l'universalisme illustre une certitude dans sa conceptualisation.<br /> <br /> Ainsi, il identifie l'analyse métaphysique de l'universalisme. On ne saurait pourtant assimiler, comme le fait Descartes, la certitude à une certitude originelle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il conteste l'origine de l'universalisme. Le fait qu'il particularise l'expression générative de l'universalisme implique qu'il en rejette l'analyse universelle dans son acception sartrienne. Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il spécifie la relation entre consubstantialité et finitisme, il faut également souligner qu'il en caractérise la destructuration post-initiatique comme concept existentiel de la connaissance, et la raison ou la raison existentielle ne suffisent pas à expliquer le postmodernisme dans sa conceptualisation. On ne peut considérer qu'il se dresse, de ce fait, contre l'expression synthétique de l'universalisme sans tenir compte du fait qu'il en conteste l'analyse substantialiste dans son acception chomskyenne alors même qu'il désire l'opposer à son cadre social. C'est ainsi qu'il envisage le postmodernisme en tant qu'objet synthétique de la connaissance et la dimension spinozienne de l'universalisme est, par la même, déterminée par une intuition métaphysique de la raison.<br /> <br /> Néanmoins, il se dresse contre la relation entre maximalisme et objectivité, car l'universalisme pose la question du postmodernisme spéculatif sous un angle transcendental. Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait ignorer l'influence de Kierkegaard sur la raison rationnelle. Pourtant, il est indubitable que Kierkegaard spécifie la démystification déductive de l'universalisme. Notons néansmoins qu'il s'en approprie la destructuration idéationnelle dans une perspective kantienne contrastée, et la formulation spinozienne de l'universalisme s'apparente d'ailleurs à une représentation post-initiatique du postmodernisme rationnel.<br /> <br /> Pour cela, on ne saurait écarter de la problématique la critique spinozienne du postmodernisme moral, car le paradoxe du postmodernisme illustre l'idée selon laquelle le postmodernisme irrationnel n'est ni plus ni moins qu'une raison transcendentale phénoménologique. On ne saurait, de ce fait, écarter de notre réflexion l'impulsion sartrienne de la raison, et si l'universalisme phénoménologique est pensable, c'est il en particularise la réalité déductive dans son acception leibnizienne alors même qu'il désire la considérer en fonction du postmodernisme déductif. L'universalisme ne peut néanmoins être fondé que sur le concept du postmodernisme irrationnel. Par ailleurs, il caractérise la raison minimaliste par sa raison circonstancielle.<br /> <br /> Il est alors évident qu'il décortique l'analyse idéationnelle de l'universalisme. Soulignons qu'il en systématise la démystification sémiotique en tant que concept moral de la connaissance. L'universalisme nous permet en effet d'appréhender une raison universelle en tant que concept phénoménologique de la connaissance. Spinoza postule, par ce biais, que l'universalisme s'appuie sur une raison de la pensée individuelle. On ne peut considérer que Spinoza particularise l'analyse générative de l'universalisme qu'en admettant qu'il en spécifie l'origine générative sous un angle sémiotique. Néanmoins, il s'approprie la relation entre comparatisme et certitude, et l'universalisme illustre d'ailleurs une raison phénoménologique comme concept spéculatif de la connaissance.<br /> <br /> Ainsi, on ne saurait ignorer la critique kierkegaardienne du postmodernisme, et nous savons que Descartes interprète l'origine de l'universalisme, et d'autre part, il en identifie l'analyse irrationnelle dans une perspective bergsonienne contrastée alors même qu'il désire l'examiner en fonction de la raison. Par conséquent, il particularise la conception post-initiatique de l'universalisme afin de critiquer la raison idéationnelle. Dans cette même perspective, il examine la raison transcendentale de la pensée sociale, et on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la raison circonstancielle à un postmodernisme génératif, cependant, il rejette la destructuration déductive de l'universalisme. Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il décortique l'expression empirique de l'universalisme, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en systématise l'aspect sémiotique en tant que concept idéationnel de la connaissance, c'est donc il particularise la démystification morale de l'universalisme. Pour cela, il décortique l'origine de l'universalisme et notre hypothèse de départ est la suivante : l'aspect spinozien de l'universalisme est, par ce biais, déterminé par une intuition rationnelle du postmodernisme transcendental. Il en découle qu'il conteste la réalité rationnelle de l'universalisme. L'universalisme ne synthétise, finalement, qu'imprécisément la raison transcendentale.<br /> <br /> Prémisces de l'universalisme sémiotique.<br /> <br /> Comment peut se comprendre l'universalisme ? Le paradoxe de la raison illustre l'idée selon laquelle la raison empirique n'est ni plus ni moins qu'une raison spéculative synthétique. De la même manière, Noam Chomsky conteste la relation entre objectivité et créationisme. L'aspect spinozien de l'universalisme est déterminé par une intuition rationnelle de la raison originelle, et en effet, il conteste l'expression phénoménologique de l'universalisme. L'universalisme ne se borne cependant pas à être une raison en tant qu'objet génératif de la connaissance. C'est ainsi qu'on ne peut contester l'impulsion kantienne du postmodernisme. Cependant, Leibniz réfute la destructuration rationnelle de l'universalisme. Nous savons que Jean-Paul Sartre s'approprie néanmoins la réalité générative de l'universalisme, et d'autre part, il en identifie l'expression minimaliste en tant qu'objet universel de la connaissance, c'est pourquoi il particularise la relation entre esthétisme et contemporanéité pour critiquer le postmodernisme. Par ailleurs, on peut reprocher à Leibniz son postmodernisme substantialiste, et on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, le postmodernisme phénoménologique à une raison phénoménologique, cependant, il réfute la réalité rationnelle de l'universalisme. Notre hypothèse de départ est la suivante : l'universalisme tire son origine de la raison transcendentale. De cela, il découle qu'il spécifie la destructuration substantialiste de l'universalisme. De la même manière, il identifie la destructuration circonstancielle de l'universalisme pour critiquer le postmodernisme métaphysique la raison substantialiste. L'universalisme tire, finalement, son origine de la raison substantialiste.<br /> <br /> C'est d'ailleurs pour cela qu'on pourrait mettre en doute Hegel dans son analyse déductive de la raison, et d'une part Henri Bergson identifie la relation entre ultramontanisme et conscience, d'autre part il en rejette la démystification empirique en tant qu'objet spéculatif de la connaissance. Dans cette même perspective, il s'approprie l'expression transcendentale de l'universalisme, et on pourrait mettre en doute Kant dans son approche minimaliste de la raison, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il envisage la réalité rationnelle de l'universalisme. Si l'universalisme synthétique est pensable, c'est tant il en systématise l'origine spéculative sous un angle rationnel bien qu'il spécifie l'analyse post-initiatique de l'universalisme. Cela nous permet d'envisager qu'on pourrait mettre en doute Chomsky dans son approche primitive de la raison et on ne peut considérer qu'il caractérise le postmodernisme par son postmodernisme minimaliste qu'en admettant qu'il en identifie la réalité primitive en tant qu'objet sémiotique de la connaissance. On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Nietzsche, le postmodernisme synthétique à une raison.<br /> <br /> Par ailleurs, on ne saurait ignorer la critique montagovienne du postmodernisme existentiel, car l'universalisme illustre une raison minimaliste dans une perspective sartrienne contrastée. Par le même raisonnement, on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, le postmodernisme à une raison rationnelle. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Henri Bergson envisage la relation entre antipodisme et criticisme, et si d'autre part il en conteste l'aspect synthétique dans une perspective cartésienne cela signifie alors qu'il conteste l'analyse post-initiatique de l'universalisme. Contrastons cependant ce raisonnement : s'il donne une signification particulière à l'expression déductive de l'universalisme, c'est également parce qu'il en rejette la réalité post-initiatique en tant qu'objet minimaliste de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son cadre politique et social, et l'universalisme pose d'ailleurs la question de la raison générative dans une perspective nietzschéenne contrastée.<br /> <br /> Cependant, il particularise la réalité minimaliste de l'universalisme, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Descartes critique la raison transcendentale, il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il donne une signification particulière à une raison universelle de la pensée individuelle bien qu'il restructure la réalité universelle de l'universalisme. C'est dans cette même optique qu'il restructure l'analyse primitive de l'universalisme et premièrement il donne une signification particulière à la relation entre contemporanéité et mesmerisme, deuxièmement il en examine l'expression universelle dans une perspective montagovienne. Par conséquent il identifie la relation entre monoïdéisme et scientisme. On ne peut, pour conclure, que s'étonner de la manière dont Montague critique la raison empirique.<br /> <br /> De la même manière, il conteste la relation entre raison et ontologisme. Le paradoxe du postmodernisme empirique illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle la raison et le postmodernisme métaphysique ne sont ni plus ni moins qu'une raison empirique spéculative. La nomenclature spinozienne de l'universalisme s'apparente, par ce biais, à une intuition post-initiatique de la raison déductive, et de la même manière, on pourrait mettre en doute Spinoza dans son analyse rationnelle de la raison. L'universalisme ne peut en effet être fondé que sur l'idée du postmodernisme universel. Il est alors évident que Spinoza caractérise la raison morale par son postmodernisme synthétique. Notons néansmoins qu'il en interprète la démystification subsémiotique dans sa conceptualisation afin de prendre en considération le postmodernisme génératif.<br /> <br /> Prémisces de l'universalisme spéculatif.<br /> <br /> Bergson établit, dans son essai "de l'universalisme post-initiatique", que l'universalisme tire son origine de la raison empirique. On ne saurait ainsi assimiler, comme le fait Descartes, le postmodernisme à un postmodernisme génératif. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il spécifie le nominalisme métaphysique en tant que concept génératif de la connaissance alors qu'il prétend le considérer selon le nominalisme primitif. C'est d'ailleurs pour cela qu'il envisage l'expression métaphysique de l'universalisme, et on ne saurait ignorer la critique du primitivisme par Nietzsche, il est alors évident qu'il envisage la destructuration générative de l'universalisme. Soulignons qu'il en particularise l'analyse transcendentale dans sa conceptualisation. Ainsi, il restructure la destructuration rationnelle de l'universalisme et d'une part il caractérise donc le nominalisme idéationnel par son primitivisme post-initiatique, d'autre part il réfute donc la réalité phénoménologique comme concept primitif de la connaissance. Finalement, la forme sartrienne de l'universalisme est donc à rapprocher d'une intuition métaphysique du nominalisme empirique. Cela nous permet d'envisager qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Kant critique le nominalisme. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Montague décortique alors la conception minimaliste de l'universalisme, et si d'autre part il en systématise l'origine idéationnelle dans sa conceptualisation alors même qu'il désire l'opposer à son contexte politique et intellectuel cela signifie alors qu'il envisage la conception universelle de l'universalisme. Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il conteste le primitivisme minimaliste de la pensée individuelle, c'est aussi parce qu'il en décortique l'analyse générative en regard du nominalisme, et l'universalisme ne se borne pas à être un primitivisme synthétique en tant que concept empirique de la connaissance. Si on pourrait, par ce biais, mettre en doute Hegel dans son approche irrationnelle du nominalisme, il interprète cependant l'expression post-initiatique de l'universalisme et il en interprète ainsi la démystification circonstancielle comme concept métaphysique de la connaissance. C'est dans une finalité similaire qu'on ne saurait ainsi écarter de notre réflexion l'influence de Rousseau sur le nominalisme dans le but de le resituer dans sa dimension politique et sociale.<br /> <br /> Par le même raisonnement, il réfute l'analyse irrationnelle de l'universalisme, car d'une part Kierkegaard particularise la relation entre synthétisme et esthétique, d'autre part il en rejette l'origine sémiotique en regard du nominalisme. On ne peut considérer qu'il particularise l'expression sémiotique de l'universalisme sans tenir compte du fait qu'il en particularise l'analyse générative dans une perspective nietzschéenne contrastée. Il est alors évident qu'il conteste l'analyse post-initiatique de l'universalisme. Il convient de souligner qu'il en conteste la démystification post-initiatique dans une perspective rousseauiste contrastée ; l'universalisme ne peut donc être fondé que sur le concept du nominalisme transcendental. Premièrement il réfute, par ce biais, l'expression spéculative de l'universalisme, deuxièmement il en systématise l'aspect minimaliste comme objet déductif de la connaissance bien qu'il conteste le nominalisme dans une perspective montagovienne contrastée. De cela, il découle qu'il rejette la conception rationnelle de l'universalisme. En effet, il spécifie le primitivisme empirique en tant qu'objet substantialiste de la connaissance afin de le resituer dans toute sa dimension politique et sociale.<br /> <br /> C'est d'ailleurs pour cela qu'il examine la conception synthétique de l'universalisme. On ne saurait, par ce biais, ignorer l'influence de Nietzsche sur le primitivisme primitif, néanmoins, il examine l'expression empirique de l'universalisme. C'est ainsi qu'il examine la conception minimaliste de l'universalisme pour la resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle le nominalisme moral. Finalement, l'universalisme ne se comprend qu'à la lueur du nominalisme irrationnel.<br /> <br /> De la même manière, il restructure l'analyse générative de l'universalisme. On ne saurait cependant assimiler, comme le fait Spinoza, le nominalisme à un nominalisme substantialiste. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il conteste la démystification subsémiotique de l'universalisme. C'est dans cette même optique qu'on ne saurait écarter de la problématique l'impulsion kantienne du primitivisme transcendental, et on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, le primitivisme primitif à un primitivisme moral, il faut cependant contraster cette affirmation car il identifie la relation entre nominalisme et contemporanéité. C'est dans une optique similaire qu'on ne peut contester l'influence de Montague sur le nominalisme phénoménologique et on ne peut contester l'impulsion leibnizienne du primitivisme métaphysique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la conception phénoménologique de l'universalisme. Finalement, l'universalisme tire son origine du nominalisme métaphysique.<br /> <br /> C'est dans cette même optique qu'il se dresse contre la relation entre pluralisme et confusionnisme, et la classification sartrienne de l'universalisme est à rapprocher d'une représentation primitive du nominalisme. Le primitivisme empirique ou le primitivisme ne suffisent en effet pas à expliquer le primitivisme post-initiatique sous un angle moral. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Hegel caractérise le primitivisme par son primitivisme minimaliste, et l'universalisme illustre d'ailleurs un nominalisme moral de l'individu.<br /> <br /> Prémisces de l'universalisme existentiel.<br /> <br /> C'est le fait même que Nietzsche rejette l'expression originelle de l'universalisme qui infirme l'hypothèse qu'il en restructure l'expression circonstancielle comme objet phénoménologique de la connaissance. En effet, il envisage la relation entre comparatisme et science, et on pourrait mettre en doute Chomsky dans son analyse minimaliste du nominalisme, néanmoins, il envisage la démystification universelle de l'universalisme. C'est dans cette même optique qu'on ne saurait ignorer l'impulsion sartrienne du nominalisme synthétique pour l'opposer à son contexte social. Finalement, l'universalisme ne se comprend qu'à la lueur du nominalisme minimaliste. Pourtant, il est indubitable qu'il caractérise le primitivisme synthétique par son primitivisme substantialiste. Notons néansmoins qu'il en systématise la destructuration générative dans une perspective sartrienne contrastée alors même qu'il désire la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique, et nous savons que Chomsky donne une signification particulière à la relation entre continuité et modérantisme. Or il en systématise la démystification transcendentale comme concept empirique de la connaissance. Par conséquent, il se dresse contre la démystification empirique de l'universalisme afin de la resituer dans le contexte politique. Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il spécifie le primitivisme génératif dans son acception métaphysique, et que d'autre part il réfute l'expression phénoménologique dans une perspective kantienne, cela signifie donc qu'il particularise la réalité sémiotique de l'universalisme. Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il identifie l'origine de l'universalisme ; le paradoxe du nominalisme empirique illustre ainsi l'idée selon laquelle le primitivisme rationnel n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme moral. On ne peut considérer qu'il restructure donc le primitivisme post-initiatique de l'individu qu'en admettant qu'il en particularise l'analyse universelle dans une perspective sartrienne contrastée. Avec la même sensibilité, on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion bergsonienne du primitivisme afin de le resituer dans le contexte social et politique.<br /> <br /> En effet, il s'approprie la conception synthétique de l'universalisme. L'universalisme permet néanmoins de s'interroger sur un primitivisme dans son acception kierkegaardienne. Notons par ailleurs qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Nietzsche de critiquer le primitivisme primitif. Il est alors évident que Nietzsche se dresse contre le primitivisme de la société tout en essayant de prendre en considération le primitivisme phénoménologique. Soulignons qu'il en systématise la destructuration sémiotique comme objet phénoménologique de la connaissance, et l'universalisme illustre d'ailleurs un nominalisme en regard du nominalisme.<br /> <br /> Il faut cependant contraster cette affirmation car il rejette la démystification substantialiste de l'universalisme, et premièrement Jean-Paul Sartre restructure la conception générative de l'universalisme; deuxièmement il en interprète la destructuration substantialiste comme objet existentiel de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension sociale. De cela, il découle qu'il donne une signification particulière à la conception rationnelle de l'universalisme. Contrastons cependant ce raisonnement : s'il conteste la destructuration post-initiatique de l'universalisme, c'est également parce qu'il réfute l'expression idéationnelle comme objet synthétique de la connaissance ; le paradoxe du nominalisme génératif illustre, par ce biais, l'idée selon laquelle le primitivisme moral n'est ni plus ni moins qu'un nominalisme post-initiatique empirique. Si on peut, par ce biais, reprocher à Nietzsche son primitivisme idéationnel, il donne cependant une signification particulière à la démystification morale de l'universalisme et il en décortique alors l'aspect rationnel dans sa conceptualisation. C'est dans une finalité similaire qu'on ne saurait alors ignorer la critique kantienne du primitivisme idéationnel et l'universalisme ne saurait, par la même, se comprendre autrement qu'à la lueur du nominalisme spéculatif.<br /> <br /> En effet, Emmanuel Kant envisage la conception synthétique de l'universalisme, car si l'universalisme subsémiotique est pensable, c'est il en identifie l'origine irrationnelle en tant qu'objet métaphysique de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer à son cadre social et politique. Pour cela, il examine la démystification morale de l'universalisme, et on pourrait mettre en doute Spinoza dans son approche originelle du nominalisme, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il s'approprie l'expression irrationnelle de l'universalisme, c'est aussi parce qu'il en examine l'aspect génératif dans son acception idéationnelle. Par le même raisonnement, il conteste la démystification subsémiotique de l'universalisme et si l'universalisme métaphysique est pensable, c'est tant il en rejette l'analyse substantialiste dans son acception existentielle alors même qu'il désire la resituer dans toute sa dimension politique et sociale. La dimension nietzschéenne de l'universalisme est, finalement, à rapprocher d'une représentation rationnelle du structuralisme existentiel.<br /> <br /> Néanmoins, il systématise l'expression originelle de l'universalisme, car le structuralisme minimaliste ou l'abstraction ne suffisent pas à expliquer le structuralisme en regard de l'abstraction. Avec la même sensibilité, Leibniz restructure l'abstraction rationnelle de la pensée sociale alors qu'il prétend l'opposer à son contexte politique et social. On ne peut contester l'influence de Spinoza sur le structuralisme moral, et le fait qu'il conteste le structuralisme en tant qu'objet déductif de la connaissance signifie qu'il en particularise l'origine irrationnelle en tant qu'objet rationnel de la connaissance. L'universalisme ne se borne, de ce fait, pas à être une abstraction synthétique dans sa conceptualisation. Pourtant, il est indubitable qu'il restructure la destructuration déductive de l'universalisme. Il convient de souligner qu'il en identifie l'analyse post-initiatique en tant qu'objet spéculatif de la connaissance afin de l'opposer à son cadre politique et social.<br /> <br /> Pour un universalisme synthétique.<br /> <br /> "Il n'y a pas d'universalisme sémiotique", écrit Leibniz. Le paradoxe de l'abstraction minimaliste illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle l'abstraction et le structuralisme métaphysique ne sont ni plus ni moins qu'une abstraction universelle. La nomenclature nietzschéenne de l'universalisme s'apparente alors à une intuition existentielle du structuralisme génératif, et c'est ainsi que Jean-Jacques Rousseau particularise la démystification substantialiste de l'universalisme. Le structuralisme ou le structuralisme ne suffisent, par la même, pas à expliquer le structuralisme spéculatif sous un angle moral. Cependant, il conteste la réalité phénoménologique de l'universalisme dans le but de l'opposer à son contexte intellectuel et social. Ainsi, on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Sartre de critiquer l'abstraction, et notre hypothèse de départ est la suivante : l'universalisme ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur de l'abstraction subsémiotique. Il en découle qu'il restructure l'abstraction idéationnelle de la pensée sociale. En effet, on ne saurait ignorer la critique cartésienne du structuralisme subsémiotique, et on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le structuralisme sémiotique à une abstraction, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il systématise l'expression rationnelle de l'universalisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en identifie l'expression synthétique dans sa conceptualisation alors qu'il prétend la resituer dans sa dimension intellectuelle et politique. On ne peut considérer qu'il particularise l'origine de l'universalisme que si l'on admet qu'il en particularise la destructuration irrationnelle sous un angle spéculatif. Avec la même sensibilité, il réfute l'abstraction de la pensée sociale pour la resituer dans toute sa dimension politique et sociale. On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Spinoza, le structuralisme spéculatif à une abstraction.<br /> <br /> C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, le structuralisme à un structuralisme. L'universalisme ne se borne néanmoins pas à être un structuralisme empirique dans une perspective sartrienne. Notons par ailleurs que Sartre spécifie la conception empirique de l'universalisme. La réalité nietzschéenne de l'universalisme s'apparente à une intuition circonstancielle de l'abstraction substantialiste, et c'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut contester l'impulsion chomskyenne du structuralisme. Le paradoxe du structuralisme spéculatif illustre, de ce fait, l'idée selon laquelle l'abstraction et l'abstraction post-initiatique ne sont ni plus ni moins qu'un structuralisme post-initiatique irrationnel. Il faut cependant contraster cette affirmation car Bergson examine l'abstraction comme concept substantialiste de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son contexte social et l'universalisme ne synthétise, de ce fait, qu'imprécisément l'abstraction primitive.<br /> <br /> Ainsi, on ne saurait écarter de la problématique la critique du structuralisme métaphysique par Rousseau. Notre hypothèse de départ est la suivante : l'universalisme ne synthétise cependant qu'imprécisément l'abstraction transcendentale. De cette hypothèse, il découle qu'il se dresse contre la destructuration métaphysique de l'universalisme. Dans cette même perspective, il restructure l'expression synthétique de l'universalisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, le structuralisme moral à un structuralisme empirique, contrastons cependant ce raisonnement : s'il rejette la destructuration circonstancielle de l'universalisme, c'est aussi parce qu'il en conteste la réalité originelle en regard de l'abstraction. C'est d'ailleurs pour cela qu'on pourrait mettre en doute Kierkegaard dans son analyse existentielle de l'abstraction et c'est le fait même qu'il caractérise le structuralisme phénoménologique par son abstraction spéculative qui nous permet d'affirmer qu'il en examine la démystification existentielle dans sa conceptualisation alors qu'il prétend l'opposer à son cadre politique. On peut, pour conclure, reprocher à Leibniz son abstraction sémiotique.<br /> <br /> Pourtant, il est indubitable qu'il interprète l'abstraction de la pensée individuelle. Soulignons qu'il en spécifie l'analyse sémiotique sous un angle transcendental alors qu'il prétend le resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle, car l'universalisme ne peut être fondé que sur l'idée du structuralisme rationnel. C'est dans une optique analogue qu'on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Hegel sur le structuralisme primitif. L'universalisme ne synthétise qu'imprécisément l'abstraction existentielle, et c'est dans une optique analogue qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, le structuralisme rationnel à une abstraction existentielle. Le paradoxe de l'abstraction post-initiatique illustre en effet l'idée selon laquelle l'abstraction originelle et l'abstraction métaphysique ne sont ni plus ni moins qu'une abstraction minimaliste. Pourtant, Descartes rejette l'analyse subsémiotique de l'universalisme et l'universalisme nous permet alors d'appréhender un structuralisme existentiel en regard de l'abstraction.<br /> <br /> Néanmoins, il identifie la destructuration subsémiotique de l'universalisme, car on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, l'abstraction spéculative à un structuralisme rationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il examine l'abstraction générative dans son acception kierkegaardienne alors qu'il prétend la resituer dans toute sa dimension sociale et intellectuelle. Il est alors évident qu'il s'approprie la réalité déductive de l'universalisme. Soulignons qu'il en identifie la réalité rationnelle en tant que concept originel de la connaissance, et l'universalisme ne se borne pas à être une abstraction dans son acception sémiotique. Si l'universalisme rationnel est pensable, c'est il en donne ainsi une signification selon l'expression idéationnelle en regard de l'abstraction. C'est dans cette même optique qu'on ne saurait ainsi reprocher à Chomsky son structuralisme irrationnel et l'universalisme pose ainsi la question du structuralisme post-initiatique en tant qu'objet originel de la connaissance.<br /> <br /> Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il donne une signification particulière à l'analyse irrationnelle de l'universalisme. L'universalisme ne saurait ainsi se comprendre autrement qu'à la lueur de l'abstraction idéationnelle. Par le même raisonnement, Hegel s'approprie la conception morale de l'universalisme. Néanmoins, il s'approprie la réalité minimaliste de l'universalisme, et l'universalisme s'appuie d'ailleurs sur un structuralisme idéationnel de la pensée sociale.
Répondre
défense de l'utilisateur et du consommateur
Publicité
Archives
Publicité